Snobs
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- 7,49 €
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Publisher Description
Snobs est le premier roman de Julian Fellowes qui a reçu en 2002 l'Oscar du meilleur scénario pour le film Gosford Park par l'Academy Award de Alen Parker.
Le narrateur est un comédien de second plan qui navigue avec beaucoup d'aisance dans les classes privilégiées tout en dénonçant leurs travers. Il va suivre les aventures de son amie, Edith Lavery, la jolie fille d'un expert comptable ayant relativement bien réussi, et de sa femme, éblouie par la haute société. Lors d'une visite au château Broughton Hall, Edith, standardiste dans une agence immobilière de Chelsea, fait connaissance du fils de la maison, Charles, comte Broughton et héritier du marquis de Uckfield. Célibataire, Charles gère les propriétés de sa famille dans le Sussex et le Norfolfk. D'après les chroniqueurs mondains, c'est un des célibataires les plus enviables, et enviés, de l'aristocratie anglaise.
Quand il la demande en mariage, Edith accepte, mais est-elle vraiment amoureuse de lui ? N'est ce pas plutôt de son titre, de son rang et de tout ce qui va avec ?
Conteur talentueux, Julian Fellowes réussi avec Snobs une délicieuse satire digne de celles de Jane Austen, acidulée d'un soupçon d'Evelyn Waugh.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Dominique Edouard
PUBLISHERS WEEKLY
Wodehouse gets a modern twist in this brilliantly acerbic tale of snobbery and marital tomfoolery in 1990s London. Our nameless protagonist, a jovial, perceptive sort of 30-something fellow hanging affably about the fringes of society, introduces his middle-class but sleek and beautiful friend Edith Lavery to the earnest but dull Lord Charles Broughton. Much to the dismay of "civilized" society, Charles falls in love and proposes to the social-climbing but largely indifferent Edith. Even after she is married, Edith is snubbed and humiliated at every turn (in the slyest, politest possible way, of course), until she moves out in a huff with her married lover, Simon Russell, an actor/ego-on-legs who is eating up the publicity that comes with being seen with a countess and eager for this entr e into society (he doesn't realize Edith has been cast into the societal dung heap). To Edith's consternation, the glittering world of theater turns out to be just as small-minded and dull as that of society, with the added disadvantage of it not involving much money. Gossipy and dishy, this debut by the Oscar-winning screenwriter of Gosford Park is a merciless and hilarious sendup of snobbery and social jealousy, revealing the pettiness and self-absorption of both the envious and the envied.
Customer Reviews
Encore
une plongée dans un monde anachronique avec une « héroïne » que je n’aime pas mais j’ai quand même eu envie d’avoir le fin mot de l’histoire.
Emma snob?
Julian Fellowes passe la première moitié de son roman à dézinguer drolatiquement la noblesse anglaise avant d'en prôner les valeurs avec la même efficacité mais sans être aussi amusant. Charles est borné, ennuyeux et peu enclin aux joies du sexe mais il a la noblesse du coeur et ne jette pas la pierre à la femme adultère. Sa grandeur d'âme pourrait être pénible mais "Snobs" n'est-il pas le remake malin de "Madame Bovary"? L'épouse est une arriviste déçue qui rêve de bel esprit mais s'aperçoit que le job consiste à fréquenter surtout des Homais; elle prend un amant séduisant et fat tandis que le mari, en véritable héros romantique, meurt d'amour.
Heureusement, Edith a sans doute lu Flaubert et elle vire Léon avant de rentrer sagement jouer son rôle de femme de notable auprès de Charles.
Du coup, le roman de Fellowes est plus drôle et beaucoup plus moral mais ça m'étonnerait qu'on l'étudie encore au lycée dans deux siècles.
Snobs
Convenu et soporifique